C'est une frontispice (illustration placée en regard de la page de titre d'un livre.), réalisée par William Blake en 1794 à Manchester.
Ce dernier a travaillé avec une technique d'eau-forte en relief rechaussée à l'aquarelle, sur une format de 23,4/ 16,8 cm.
Dans cette illustration, Blake voulut nous transmettre la vision grandiose du Seigneur. Cela en utilisant
une vue contre-plongée vertigineuse, comme le Dieu terrifiant qui applique un compas sur la face de l'abîme entrain de dessiné la terre.
D'après, E.H. Gombrich "HISTOIRE DE L'ART". Il ne s'agit pas exactement ici du Créateur des textes bibliques, mais d'un génie imaginé par l'artiste et qu'il nommait Urizen. Pour lui, Urizen était
bien le créateur du monde, mais puisqu'il considérait ce monde comme mauvais, il concevait son créateur comme un génie du mal. D'où le caractère de cauchemar de cette vision, où le compas brille
comme un éclair dans une nuit d'orage.
Eh ben ! ça y est !… toutefois, essayer d'élaborer un peu plus en parlant de la dynamique de l'image, de la composition, des couleurs… tout ce qu'on voit dans les cours.
RépondreSupprimerIl faut aussi éliminer cet espace après la virgule dans la publication précédente.
Diane a certainement raison en ce qui concerne la virgule. personnellement, j'étais tellement contente de voir la recherche prendre forme que je n'ai pensé qu'à applaudir.
RépondreSupprimerOui, à travers chaque création, chaque acte créateur, c'est un peu de la Création originelle qui se rejoue.
Une fois ce point (important) posé, vers quoi allez-vous vous tournez ? Les lieux de la création (les ateliers), un panoramique sur les champs de la création (plastique, culinaire, musicale, littéraire, confection, décoration, architecture...) La création concerne TOUT ce qu'on peut réaliser.
Vous avez choisi un mot passionant : bonne continuation !